vendredi 18 juillet 2025

Montréal, le 18 juillet 2025

Selon l’IA, un crime pourrait être commis à Montréal dans les cinquante prochaines années. Allons recueillir des preuves avant qu’il ne soit trop tard.

Certains artistes cachent leurs crimes sous la forme de grandes murales, certaines sont particulièrement originales. 









Un détective a parfois besoin de focus pour voir la vérité. Le festival Les Nuits d’Afrique, c’est où?

À une autre époque, les criminels pouvaient se réfugier dans les églises, mais certaines comme celle de St. John the Evangelist ont besoin de beaucoup d’amour.


Dans d’autres pays, nous sommes émerveillés dès que l’on voit des bâtiments de prestige, et Montréal n’en manque pas.



Les criminels doivent toujours avoir un plan B pour s’échapper du lieu du crime. C’est par ici qu’on s’enfuit…

Mais parfois un peu de science peut aider, que ce soit les criminels ou la police. Des idées? L’École technique sur Sherbrooke devait en avoir beaucoup.



Si la police court après vous, vous pouvez lui faire faux bond en sautant, tel Spider-Man, d’un édifice à l’autre.

De beaux appartements où se réfugier, certains plus modernes que d'autres. 



Pour résoudre une affaire nébuleuse, les détectives doivent accorder leurs violons. Au besoin, ils peuvent aller sur          St-Urbain, juste au sud de Sherbrooke.

Pour comprendre les crimes du futur, il faut regarder le passé, comme ces vieilles maisons datant d’une époque que nos jeunes ne peuvent pas connaître.


Tous ces buildings, toutes ces tours qui cherchent à écraser le passé. 

Quelle est cette porte? Vers quel lieu conduit-elle — vers le passé ou le futur?



Après, les malfaiteurs doivent blanchir l’argent du crime. Pour bien faire les choses, un peu d’études à HEC pourraient aider.

Sous son passé et son futur criminel, Montréal ne peut cacher, sur René-Lévesque, sa vocation olympique. 



Ni sa vocation religieuse avec sa cathédrale. 

Mais les voleurs sont peut-être passés trop tard, la réserve d’or anglaise n’est plus dans ses voûtes. D’autres diront que les voleurs y sont toujours. Édifice Sun Life.


Les malfaiteurs ne pourront décapiter Sir John A. Macdonald une autre fois.

D’autres sont passés avant nous. Mais au Québec : 

On se souvient.




Des hautes tours, il semble qu’il s’en soit construit à toutes les époques, dans tous les styles.

Si nos voleurs ne peuvent plus convoiter l’or de l’Angleterre, les symboles du luxe d’antan ne manquent pas : Birks, Dominion Square Building.

La police doit parfois, souvent, prendre une pause. Si les cols bleus le font, les hommes en bleu du service de l’ordre y ont aussi droit.


Pas besoin d’une si grosse loupe pour résoudre notre affaire. Non, cet anneau ne pourra jamais remplacer les cônes orange comme symbole de Montréal.

Si le refuge en église ne suffit pas pour échapper aux policiers de Montréal, on peut toujours s’engager dans le Régiment Maisonneuve et servir avec bon cœur et bon bras, d’un océan à l’autre. 



Des monuments historiques comme celui au roi Edward VII et les cent clochers cachent les indices qu’il nous faut découvrir.

Autre vestige du passé : la cathédrale Christ church, voisine du grand magasin Eaton et du centre KPMG. Le jardin à l’arrière de la Place Raoul Wallenberg  invite à la détente.



Nous avons enfin repéré les lieux du futur crime, entre la tour du complexe Desjardins, le siège social d’Hydro-Québec et le Complexe Guy-Favreau. René sera bien placé pour tout voir, lui qui regarde pour toujours l’intersection de St-Urbain et du boulevard portant son nom.




Si les criminels du futur veulent se réfugier aux États-Unis, qu’ils ne comptent pas sur l’accueil sympathique du consulat américain au 1134-O Sainte-Catherine. Petit local, petites gens.


Photos

Un joyau de Montréal que l’on découvre pour la première fois : la Basilique Saint-Patrick, construite au milieu du XIXᵉ siècle et inaugurée le 17 mars 1847, fête de Saint-Patrick.  

On se croirait en Europe au XIVᵉ ou XVᵉ siècle tant le style gothique impressionne.

L’autel central, les deux immenses lustres, la vieille chaire, les vitraux… tout appelle à y aller ou y retourner.