Selon l’IA, un crime pourrait être commis à Montréal dans les cinquante prochaines années. Allons recueillir des preuves avant qu’il ne soit trop tard.
Certains artistes cachent leurs crimes sous la forme de
grandes murales, certaines sont particulièrement originales.
Un détective a parfois besoin de focus pour voir la
vérité. Le festival Les Nuits d’Afrique, c’est où?
À une autre époque, les criminels pouvaient se réfugier dans les églises, mais certaines comme celle de St. John the Evangelist ont besoin de beaucoup d’amour.
Si la police court après vous, vous pouvez lui faire faux bond en sautant, tel Spider-Man, d’un édifice à l’autre.
De beaux appartements où se réfugier, certains plus modernes que d'autres.
Pour résoudre une affaire nébuleuse, les détectives doivent accorder leurs violons. Au besoin, ils peuvent aller sur St-Urbain, juste au sud de Sherbrooke.
Pour comprendre les crimes du futur, il faut regarder le
passé, comme ces vieilles maisons datant d’une époque que nos jeunes ne
peuvent pas connaître.
Tous ces buildings, toutes ces tours qui cherchent à écraser le passé.
Quelle est cette porte? Vers quel lieu conduit-elle — vers le passé ou le futur?
Sous son passé et son futur criminel, Montréal ne peut cacher, sur René-Lévesque, sa vocation olympique.
Ni sa vocation religieuse avec sa cathédrale.
Mais les voleurs sont peut-être passés trop tard, la
réserve d’or anglaise n’est plus dans ses voûtes. D’autres diront que les
voleurs y sont toujours. Édifice Sun Life.
Les malfaiteurs ne pourront décapiter Sir John A. Macdonald une autre fois.
D’autres sont passés avant nous. Mais au Québec :
On se souvient.
Si nos voleurs ne peuvent plus convoiter l’or de
l’Angleterre, les symboles du luxe d’antan ne manquent pas : Birks,
Dominion Square Building.
La police doit parfois, souvent, prendre une pause. Si les cols bleus le font, les hommes en bleu du service de l’ordre y ont aussi droit.
Si le refuge en église ne suffit pas pour échapper aux policiers de Montréal, on peut toujours s’engager dans le Régiment Maisonneuve et servir avec bon cœur et bon bras, d’un océan à l’autre.
Si les criminels du futur veulent se réfugier aux États-Unis, qu’ils ne comptent pas sur l’accueil sympathique du consulat américain au 1134-O Sainte-Catherine. Petit local, petites gens.
Un joyau de Montréal que l’on découvre pour la première fois : la Basilique Saint-Patrick, construite au milieu du XIXᵉ siècle et inaugurée le 17 mars 1847, fête de Saint-Patrick.
On se croirait en Europe au XIVᵉ ou XVᵉ siècle tant le style gothique impressionne.
L’autel central, les deux immenses lustres, la vieille chaire, les vitraux… tout appelle à y aller ou y retourner.